L'éducateur des U14 R2 ainsi que des U16 R2 du RC Joinville revient sur le confinement de ses équipes et la reprise qui a eu lieu début Décembre.

Comment vas-tu après ce confinement ?

Tout va pour le mieux! On a pu recharger les batteries afin d'attaquer l'entrainement de la meilleure des façons et rattraper le temps perdu.

Comment s’est passée la gestion du 2ème confinement avec tes groupes ?

Nous avons été forcé à couper plus d’un mois les séances dû au nouveau confinement. Pour faire face à cette coupure, nous avons organisé des réunions en visioconférence afin de maintenir ce lien et cette complicité entre les joueurs. On alternait entre travail tactique par groupe, et des quizz sur la culture foot. En plus de ce rendez-vous hebdomadaire, on a laissé aux joueurs un programme d’entretien individuel qui comportait 2 séances par semaine.

Comment s’est organisée la reprise de tes équipes ?

La reprise se déroule bien, même si le couvre-feu nous empêche de faire le nombre de séances que l’on souhaiterait faire. Les joueurs sont heureux de reprendre et de se revoir !

Comment gère t-on les entraînements avec l’absence de compétition le week-end ?

L’absence de compétition le week-end est un mal pour un bien pour le moment. Il faut reprendre progressivement une préparation athlétique et en même temps faire attention aux restrictions liés au gouvernement. Le plus difficile est de se préparer sans connaître réellement la date de reprise. Ce n’est pas évident mais il faut prendre son mal en patience et être prêt le jour J. 

Quel travail est mis en place pour la reprise de l'entraînement ?

 

Comme dit vaguement précédemment, on reprend une préparation athlétique. On alterne donc du travail foncier et du travail technique en gardant une progressivité semaine après semaine. 

On a hâte de pouvoir reprendre des jeux avec de l’opposition afin d’être de plus en plus dans une réalité de match. Malheureusement, ces restrictions vont créer une inégalité au moment de reprendre, entre les clubs ayant respectés les règles imposées, et les autres.

Merci à Valentin pour cette interview !